Les oeuvres d’art et l’exposition (2) <retour

1. ‣Devis pour la restauration et l’agrandissement des orgues de l’église Saint-Lambert.
   

2. Ce devis, proposé par le facteur d’orgues Anneessens-Marinus date du 9 mars 1937.
   

3. Il fut accepté et les travaux débutèrent l’année suivante.

1. ‣Registre des délibérations du Conseil de Fabrique de la paroisse Saint-Lambert de 1889 à 2010

1. ‣Elèves du cours de religion de l’école communale de Courcelles-Petit

1. ‣Elèves de l’école libre Saint-Lambert

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1. ‣L’église Saint-Lambert de Courcelles-Petit est la plus ancienne de la localité. La fondation de cette « cura integra » remonte à l’an 960 lorsque Eracle, évêque de Liège, vint personnellement délimiter la paroisse de Jumet. Depuis ces temps lointains, Courcelles cessa d’être cité comme simple emplacement de chapelle mais, déjà, comme une paroisse qui fut à l’origine de la commune. La première pierre de l’édifice fut posée en 1834 et la construction fut exécutée, en style semi-classique, selon les plans de l’architecte Kuypers de Charleroi.

1. ‣La cure du Petit-Courcelles
   

Les anciens maïeurs et échevins tenaient leurs réunions dans un café ; les archives se trouvaient à l’église.

Après 1794, la commune les reprit et les déposa à la cure du Petit-Courcelles. Le bureau de l’administration se tenait dans une dépendance d’un café voisin que l’on connaissait sous le nom « d’Elite del chamb’commune ».

Avant la révolution française, les prêtres inscrivaient les naissances, décès et mariages sur les registres paroissiaux. Les actes les plus anciens datent de 1671.

A l’institution de l’état civil, les communes ont enregistré elles-mêmes les actes.

En 1860, l’administration communale construisit un presbytère pour le curé du Petit-Courcelles et son ancienne habitation, désaffectée, devint la maison communale jusqu’en 1907.

(Courcelles – son histoire – Elie Lemal) pp 155-156

1. ‣Au fond (au centre) l’estaminet Grislin. Autrefois, nos Maïeurs et Echevins y tenaient leurs réunions. A droite, la «Maison du bedeau» qui ne tardera pas à être démolie pour faciliter l’accès de l’école toute proche. La place servait, jadis, de cimetière.

1. ‣LE DERNIER BEDEAU DE L’EGLISE SAINT-LAMBERT
   

Il s’appelait Augustin CAMBIER. Sa fonction consistait à assister le clergé dans l’exercice du culte et à maintenir le bon ordre durant les offices.

D’origine très ancienne, cette charge disparut, peu à peu, dès la fin de la Première Guerre mondiale.

(Date probable du document : 1920)

1. ‣Ancienne vue de la place Saint-Lambert, le berceau de la paroisse de Courcelles. Sur la gauche, un bâtiment en démolition : c’était l’habitation du bedeau.

1. ‣Coin de la place Saint-Lambert (actuellement Place Abbé Bougard) - 1905  ......
   

2. .... Remarquez l’erreur dans la légende de la carte postale (Courcelles-Motte !)
   

3. 
   

A l’ombre de l’église : le pensionnat des Frères DAWANT.

Au fond de la photo : le modeste coron de l’ancien charbonnage de Benne-sans-Fosse. (La permission d’exploiter la houille lui avait été accordée par acte du 23 novembre 1754). En 1837, le puits occupait onze ouvriers.

1. ‣La Place du Petit-Courcelles (document unique)
   

En 1905, une foule dense pour assister sur le ballodrome de la place à une lutte de jeu de balle à la « demi-dure » (une spécialité courcelloise).

L’équipe de Courcelles (sous la direction de Fernand Lafaille) remporta, en 1911, le Grand Prix de l’Exposition de Charleroi, devant 8000 spectateurs.

Un coup d’oeil sur l’environnement de la Place à cette époque lointaine n’est pas sans intérêt.

1. ‣Retour de mission